Un autre tableau sur la pluie démarré avec des restes de peinture. J’aime cette atmosphère, même la réalisation est relativement facile. L’exercice m’a tout de même permis d’intégrer des règles essentielles en composition. Tableau 9 x 12.

Un autre tableau sur la pluie démarré avec des restes de peinture. J’aime cette atmosphère, même la réalisation est relativement facile. L’exercice m’a tout de même permis d’intégrer des règles essentielles en composition. Tableau 9 x 12.
De retour de Baie-St-Paul où j’ai réalisé deux tableaux à partir du paysage en face de moi, j’étais partagé entre la poursuite de l’exploration de scènes d’atmosphère sur le fleuve et une scène de végétation. L’arbre esseulé derrière le chalet s’est imposé. Il s’agit d’un travail par masse avec des couleurs primaires et secondaires appliquées sur un fond de restes de tableaux précédents. Diane et Benjamin le trouve intéressant. Tableau 12 x 16. Collection privée.
L’exercice consistait à donner plus de profondeur à la précipitation et, tant qu’à y être, plus de couleurs: gris de Payne, cyan et sienne naturelle. Diane l’aime bien. Tableau 12 x 16.
Un premier tableau à l’acrylique en vacances à Baie-St-Paul. Gris de Payne seulement. En donnant les derniers coups de spatule, je me suis rappelé l’ennui que je vivais à bas âge et l’effet apaisant de la pluie. Il s’agit fort probablement d’un premier tableau d’une série. Tableau 16 x 20.
En arrivant à à la Source d’Arts d’Asbestos pour y apprendre comment utiliser une spatule, j’ai mis sur le chevalet un carton toilé présentant déjà une face teintée. Inspiré des Belles éphémères de Nathalie Lapointe de Crabtree, j’ai dû utiliser mon pinceau pour donner un peu de sens au projet. Selon Rénald Gauthier, une toile montée répond mieux qu’un carton à la spatule. Le résultat est décent, mais ne fait pas l’unanimité. Tableau 12 x 16.
D’entrée de jeu, Richard m’a lancé un défi: il m’a retiré mon carton toilé de 12 x 16 pour lui substituer un plus grand en me disant: gêne-toi pas, prends de l’espace. Une heure plus tard et bien assis devant mon chevalet, j’entends Richard me dire : touche plus à rien, le tableau est fini ! C’est la deuxième fois que cela m’arrive. Pour ma part, il me restait un élément à ajouter. J’avais pour inspiration une photo de François Houle présentant un plan d’eau sans horizon; je n’ai retenu que trois teintes: le bleu de céruléum, le bleu outremer et le violet pourpre, des couleurs froides. Il a stoppé la classe pour montrer qu’il ne fallait pas obligatoirement beaucoup de temps pour achever une oeuvre. Plusieurs y ont vu un paysage de glace et de neige. Tout à fait d’accord, il me rappelle Méditation d’hiver, un tableau à l’huile achevé en très peu de temps aussi, mais d’une plus petite dimension.Le titre traduit assez bien ma démarche: rester ouvert à ce qui se présente sans trop savoir où cela va me mener. Tableau 18 x 24. Collection personnelle.
C’est le résultat (inachevé) de mon premier atelier de coaching avec Arseno, Le point de départ est le même que pour celui des tableaux précédents. J’ai utilisé le vert foncé, de Hooker et le pourpre brillant. En le laissant à la vue dans mon atelier et à en jasant avec Diane, des éléments d’inspiration ont émergé. Tableau 12 x 16.
Pour cet essai, j’ai utilisé un pinceau plat pour le fond. Ensuite, j’ai utilisé une spatule pour appliquer du titane écru, de l’or et de la terre d’ombre brûlée. J’ai terminé le tableau par des ratures effectuées avec la tranche de la spatule. Carton toilé 9 x 12.
Ce matin, je me sentais outillé pour réaliser un tableau à la spatule sur un fond effectué au pinceau. Mes tons avaient été esquissés la veille (pourpre brillant, titane écru, terre d’ombre brûlée). Et surtout, je ne devais pas me hâter. L’ensemble est presque tout réalisé au pinceau, les dernières touches l’étant à la spatule. Benjamin l’aime bien et Christine aussi. J’avoue une réelle satisfaction. Tableau 9 x 12.
C’est mon premier tableau à l’acrylique réalisé à la spatule dans mon atelier. Cela faisait quelques jours que je tournais au tour du pot; l’aspect figuratif m’importait peu. Le choix des couleurs et de leurs valeurs est une tâche complexe. Après avoir mijoté sur deux projets distincts, c’est celui-ci, inspiré d’une photo présentant un zoom sur de l’herbe au sol, que j’ai finalement réalisé. Le résultat me plait, mais présente un air menaçant. Fort différent de tout ce que j’ai réalisé jusqu’à ce jour. Tableau 6 x 12.
Bien assis au début du quai de Baie-St-Paul, je me préparais à réaliser un croquis de la plage et de la baie quand Rolland, un participant venu de l’Outaouais, s’est installé sur le quai. L’occasion était belle pour inclure un personnage dans mon croquis et d’en faire, à la suggestion de mon professeur un premier tableau à l’acrylique sur le motif. Le résultat est sobre, mais harmonieux. Tableau 12 x 16.
À ma première journée aux Éboulements, ke professeur m’a suggéré de m’en tenir au croquis. Assis par terre au sommet d’une colline à côté de l’Auberge de Nos Aïeux, je me préparais à réaliser un croquis du paysage riverain quand Céline, une participante, est passée devant mon viseur. Sans réfléchir, le sujet s’est imposé. Aux dires de ma dame, le résultat est très plaisant. Est-ce le hasard qui me montre un chemin? Croquis 8 x 10.