Depuis ma visite dans une galerie de Baie-Saint-Paul où j’y ai admiré des tableaux de Martin Beaupré (titre indépendant), je sais que j’ai un attrait marqué pour les tableaux qui illustrent la brume. J’ai appliqué la technique de James Julier, artiste numérique, pour ce tableau inspiré d’une photo sur Internet. Pour me l’approprier sans remords, j’ai modifié les couleurs, ajouté des conifères et retiré une structure d’un centre d’intérêt. L’exercice consistait surtout à identifier les pinceaux avec lesquels de peindrais et, surtout, à créer les couches pertinentes et déterminer lesquelles seraient soumises à un flou gaussien et cinétique. Tableau numérique 24 x 18.
Mois : septembre 2018
Ce tableau pourrait s’intituler Étude sur la brume. Il n’est pas rare de voir s’échapper la brume des lieux humides, et ce, selon les caprices du soleil et du vent. Pour multiplier les zones de brume, j’ai dû multiplier les couches (de peinture) indépendantes. L’application me permet assez aisément d’obtenir des reflets des structures en dehors de l’eau. Bref, j’ai du plaisir à peindre en mode numérique. Ce tableau est inspiré d’une photo prise avec le Club de marche Plus du mercredi. Tableau numérique 24 x 18.
Avec le retour de l’automne, j’avais envie de quelques couleurs dans un paysage de brume au bord d’un lac. Toujours dans le processus d’appropriation des possibilités de l’application de peinture numérique, j’ai utilisé des nouveaux pinceaux, mais j’ai surtout construit mon paysage couche par couche, d’arrière en avant. Après avoir généré un flou sur le lac, j’ai utilisé pour la première fois des fonctions de paramétrage de l’opacité: multiplier et densifier. Enfin, un plaisir coupable: peindre un galet et lui ajouter de la mousse verte. Tableau numérique 24 x 18.
Depuis la période de mes ateliers sur la composition en 2014 me vient de temps à autre le désir de peindre un bouquet de fleurs particulier. Après plusieurs essais et erreurs, toutes pardonnées, j’ai abouti à réaliser un produit final. Deux pinceaux combinés à un jeu de flou dans un calque m’ont suffi. Tableau numérique 11 x 17.
Ce n’est pas d’hier que j’affectionne les jardins alpins. On y fréquente les deux mondes (minéral et végétal) en parfaite symbiose. Ces deux mondes illustrent la rigidité, la froideur en même temps que la douceur et la chaleur. Ce tableau est issu d’une photo prise au chalet à Baie-St-Paul en juin 2017. Dans ce tableau, je n’ai utilisé que deux catégories de pinceau, fusains et rétro, mais j’ai dû paramétrer la taille et l’intensité du coup de pinceau. Tableau numérique 17 x 11.
Ce tableau est le résultat d’une démarche proposé par James Julier, artiste numérique; il réunit de nombreux éléments que j’affectionne: la tombée ou le lever du jour, des silhouettes, des épinettes et de la brume. Toutefois, il y manque des roches ! L’utilisation des couches rend le travail beaucoup plus agréable: les corrections et les retouches sont toujours possibles. Encore une fois, je n’ai pas vu le temps passer. Tableau numérique 24 x 18.
Ce tableau est peut-être celui qui m’a pris le plus de temps, sauf que je n’ai pas vu le temps passer car je me promenais parmi les plantes-bandes d’êtres animés et inanimés. Ce tableau est inspiré d’une photo sur Internet et j’en ai retenu, somme toute, que la composition. La difficulté était surtout d’identifier et de paramétrer le pinceau apte à me donner ce que je voulais, à exercer la pression suffisante sur le support tout en pivotant, grossissant et rapetissant le tableau. Tableau numérique 24 x 24.
En vacances à Cap-à-l’Aigle, j’ai pris des photos sur le chemin reliant toutes les résidences de villégiature. De fait, ce chemin constituait mon parcours d’entraînement journalier. Comme dans tout chemin en campagne, il était bordé de prés fleuris dans lesquels fleurissaient les rudbeckies, une fleur jaune apparentée à la marguerite. Après avoir mis passablement de temps à réaliser le fond pierreux, j’ai intégré les fleurs. J’ai utilisé l’outil de liquéfaction, mais sans grande satisfaction. Ce soir, j’ai modifié la courbe des couleurs pour obtenir une tout autre expression … qui me plait. Tableau numérique 12 x 24.
Fiesta à Rio
Ce tableau est en plan depuis plus d’un mois. Récemment, j’ai ouvert l’application de dessin et j’ai laissé libre cours à mon pinceau numérique; je me suis beaucoup amusé (c’est le bon mot) à jouer avec la courbe des couleurs. Le tableau n’est vraiment plus ce qu’il était initialement. Tableau numérique 12 x 24.
Ce soir, je voulais pousser plus loin le tableau « Épanouissement » en donnant plus de volumes au feuillage; je tenais à lui donner plus de vie en ajoutant de la lumière. Les troncs se sont imposés d’eux-mêmes, car je n’avais pas envie d’utiliser l’outil de liquéfaction. Chemin faisant, il m’a rappelé un tableau inspirant chez mon podiatre ainsi que celui à mon premier atelier de sumi-e. Tableau numérique 12 x 24.
Collection personnelle
Artéfact amérindien
Ce tableau est issu d’une transformation de « Toutes voiles dehors » mis en ligne il y a moins d’un mois. Je ne me souviens plus comment j’ai abouti à ce résultat sinon que je devais être totalement absorbé par l’exercice. Pour une raison que j’ignore, je l’aime beaucoup. Tableau numérique 24 x 24.
Broncosphère
Cela fait plus de deux semaines que j’ai commencé ce tableau et que je l’ai mis de côté … inachevé. Hier, après des essais et erreurs sur un nouveau tableau, j’ai fait du ménage dans mon classeur numérique et ce tableau a émergé pour sa finalisation. Tableau numérique 12 x 24.