Dans cet atelier-choc supervisé par Yvon St-Aubin et Louise Marion, on m’a enseigné à faire autrement. Il me reste à m’investir.
De plus en plus je cherche à m’approcher de mon sujet, à entrer dans son intimité. Le défi résidait dans l’interprétation du courant d’eau baignant le lierre
Pour éviter de donner trop d’importance à la roche à l’avant-plan, j’ai décidé d’ajouter des fleurs, en l’occurrence, des achillées et de retravailler le courant d’eau.
Premier tableau issu d’une démarche créatrice. Que faire et comment le faire? La réponse à la première question s’est révélée après quatre à six semaines de présence attentive à la démarche proposée par Suzanne Déry. La réponse à la deuxième question sera fort probablement le fruit de mon implication.
Même si la ressemblance n’est pas totale, j’ai bien aimé dessiner ses cheveux.
J’essaie de trouver mon filon. Avec des crayons pour aquarelle, j’aime bien cette approche monochrome
J’adore la brume. J’ai utilisé une approche humide sur humide; j’aurais dû y aller sec sur humide. Tableau 12 x 16.
Les rochers et l’eau, quel beau mariage. D’après une photo. Tableau 12 x 16.
Avec ce premier tableau à l’huile, je commence à saisir mon intérêt pour les rochers. D’après une photo. Tableau 10 x 12.
C’est un thème qui me plait. Je veux le reprendre, mais autrement. Je m’aperçois que j’ai beaucoup de travail qui m’attend sur la planche.
Je me suis trop absenté de ma table à dessin. J’y reviens avec une certaine réussite et beaucoup de travail en perspective. D’après une photo de Brigitte Charland, aquarelliste.
Sa visite il y a deux ans m’a réellement charmé. Sur le plan du dessin, j’ai passablement de la difficulté avec l’eau stagnante.