Ce tableau est davantage un exercice de couleurs sur une photo, mais il me plait beaucoup. Tableau numérique 24 x 18.
Catégorie : Paysages
Les vacances sont terminées. J’ai fouillé dans mes premiers dossiers et j’ai trouvé l’ébauche d’un ciel. Des épinettes se sont ajoutées, puis une cabane, des oiseaux en migration et enfin un gros pin. Tableau numérique 36 x 24.
Je suis en vacances dans la magnifique région de Charlevoix et j’ai beaucoup de temps à passer à mon poste de peinture numérique. Depuis quelques jours, je multiplie les essais et les erreurs en déplaçant la courbe des couleurs de bas en haut et de gauche à droite. Ce matin, j’ai essayé une nouvelle approche, celle du collage; j’ai pris d’autres photos du même paysage et j’en ai copié les nuages; deux jours plus tard, j’ai apporté des modifications. Tableau numérique 24 x 18.
Depuis ma visite dans une galerie de Baie-Saint-Paul où j’y ai admiré des tableaux de Martin Beaupré (titre indépendant), je sais que j’ai un attrait marqué pour les tableaux qui illustrent la brume. J’ai appliqué la technique de James Julier, artiste numérique, pour ce tableau inspiré d’une photo sur Internet. Pour me l’approprier sans remords, j’ai modifié les couleurs, ajouté des conifères et retiré une structure d’un centre d’intérêt. L’exercice consistait surtout à identifier les pinceaux avec lesquels de peindrais et, surtout, à créer les couches pertinentes et déterminer lesquelles seraient soumises à un flou gaussien et cinétique. Tableau numérique 24 x 18.
Ce tableau pourrait s’intituler Étude sur la brume. Il n’est pas rare de voir s’échapper la brume des lieux humides, et ce, selon les caprices du soleil et du vent. Pour multiplier les zones de brume, j’ai dû multiplier les couches (de peinture) indépendantes. L’application me permet assez aisément d’obtenir des reflets des structures en dehors de l’eau. Bref, j’ai du plaisir à peindre en mode numérique. Ce tableau est inspiré d’une photo prise avec le Club de marche Plus du mercredi. Tableau numérique 24 x 18.
Avec le retour de l’automne, j’avais envie de quelques couleurs dans un paysage de brume au bord d’un lac. Toujours dans le processus d’appropriation des possibilités de l’application de peinture numérique, j’ai utilisé des nouveaux pinceaux, mais j’ai surtout construit mon paysage couche par couche, d’arrière en avant. Après avoir généré un flou sur le lac, j’ai utilisé pour la première fois des fonctions de paramétrage de l’opacité: multiplier et densifier. Enfin, un plaisir coupable: peindre un galet et lui ajouter de la mousse verte. Tableau numérique 24 x 18.
Ce tableau est le résultat d’une démarche proposé par James Julier, artiste numérique; il réunit de nombreux éléments que j’affectionne: la tombée ou le lever du jour, des silhouettes, des épinettes et de la brume. Toutefois, il y manque des roches ! L’utilisation des couches rend le travail beaucoup plus agréable: les corrections et les retouches sont toujours possibles. Encore une fois, je n’ai pas vu le temps passer. Tableau numérique 24 x 18.
Ce tableau est peut-être celui qui m’a pris le plus de temps, sauf que je n’ai pas vu le temps passer car je me promenais parmi les plantes-bandes d’êtres animés et inanimés. Ce tableau est inspiré d’une photo sur Internet et j’en ai retenu, somme toute, que la composition. La difficulté était surtout d’identifier et de paramétrer le pinceau apte à me donner ce que je voulais, à exercer la pression suffisante sur le support tout en pivotant, grossissant et rapetissant le tableau. Tableau numérique 24 x 24.
Ce soir, je voulais pousser plus loin le tableau « Épanouissement » en donnant plus de volumes au feuillage; je tenais à lui donner plus de vie en ajoutant de la lumière. Les troncs se sont imposés d’eux-mêmes, car je n’avais pas envie d’utiliser l’outil de liquéfaction. Chemin faisant, il m’a rappelé un tableau inspirant chez mon podiatre ainsi que celui à mon premier atelier de sumi-e. Tableau numérique 12 x 24.
Collection personnelle
À Métis-sur-Mer, j’ai pris quelques photos dont une à l’apéro sur la terrasse du pavillon des villégiateurs. La difficulté de ce tableau réside encore dans le paramétrage des pinceaux notamment ceux pour le fusain. Les habitués de ce coin de repos durant la période estivale se questionneront sur la présence du lierre grimpant en bordure; il est entièrement imaginé aux fins de la composition. Pour ce lierre, j’ai utilisé les mêmes pinceaux qu’au tableau précédent. Tableau numérique 16 x 9.
Cette semaine, nous avons passé deux jours à Métis-sur-Mer. Des vacances en compagnie de nos amis Suzanne et Richard. On voulait tous profiter de l’occasion pour lire ou peindre au bord du fleuve Saint-Laurent. La température était superbe. Nous avons pu prendre l’apéro sur la terrasse tout en regardant des goélands se nourrir et des marcheurs se déplacer sur la grève. Le temps filait doucement au grand bonheur de tous. Curieusement, j’ai pris beaucoup de plaisir à paramétrer mes pinceaux (aérographie, eau, calligraphie, fusains) afin d’obtenir l’effet désiré. Tableau numérique 24 x 18.
Tel un élève ambitieux, j’ai suivi la leçon du maître, en l’occurrence James Julier. De fait, il s’agit d’une reprise d’un tableau publié le 1er août dernier: À l’orée du rêve. La principale difficulté est de se promener d’un calque à l’autre; en même temps, on se rend compte que l’on peut bonifier un plan intermédiaire. Danièle l’aime beaucoup et cela me ravit !. Tableau numérique 24 x 18.