J’ai pris ces iris en photo au début de juin. Je voulais les illustrer au sein d’une composition classique. Ce n’est que ce matin que je les ai dessinés dans un sentier de bonheur devant une montagne à l’arrière-plan . Pourtant, au début de ma retraite professionnelle, j’ai reçu une reproduction d’une aquarelle illustrant une telle composition; je devrais analyser mes tableaux plus souvent. Tableau numérique 5 x 7.
Ce tableau est une version numérique d’une de mes aquarelles au printemps de 2018. L’exercice présent consiste à n’utiliser que les pinceaux numériques paramétrés pour l’aquarelle par Steve Elliott, artiste du Royaume-Uni, à m’en tenir à une palette de couleurs complémentaires et à ajouter un texte signifiant au bas du paysage. Tableau numérique 7 x 5.
J’ai eu un creux ces derniers temps. J’ai de la difficulté à choisir une composition. Ce tableau s’inspire d’une composition verticale explorée dans l’approche sumi-e. Je mets l’accent sur une touffe de fougères que j’adore croiser quand je me promène dans les sentiers de la rivière Magog. Tableau numérique 4 x 6.
Au mois d’août de 2018, je quittais l’atelier de Madeleine Bousquet pour orienter ma démarche en fonction de mes propres intérêts. Au moment de quitter son domicile, j’ai encore regardé le tableau de Jeanson accroché au mur ouest du salon de Bousquet : des quenouilles dans une atmosphère brumeuse. Un moment ou un autre, je devais me lancer dans une réalisation appariée. La peinture numérique m’a permis d’y parvenir. Danièle l’a aimé au premier coup d’œil. Tableau numérique 4 x 4.
Après une jasette avec un féru de la photographie, j’ai repris un tableau illustrant un paysage et j’ai particulièrement fait attention à bien distinguer les divers plans de la composition et à porter une attention particulière à l’harmonisation des couleurs et ce, en ne simulant pas la distance par l’utilisation du flou intégré dans l’application numérique. Tableau numérique 16 x 9.
Contrairement aux oiseaux dans le dernier tableau, ceux-ci ont été dessinés à l’aide d’une photo de paruline jaune en référence; le dernier coup de pinceau a eu la complicité de la courbe des couleurs. Tableau numérique 18 x 12.
Ce tableau utilise la même composition que les derniers sauf que les taches se sont transformées en oiseaux et l’arrière-plan s’est couvert de branches et de feuillage; bien entendu, j’ai encore fait danser la courbe des couleurs de l’application Procreate. Tableau numérique 18 x 12.
J’ai été négligeant cette semaine en ce qui concerne la mise à jour de mon site artistique sur Internet. À défaut d’un printemps avenant, je suis allé en campagne en dessinant un coin de verdure. Tableau numérique 4 x 4.
Suzanne aime chanter dans une chorale et j’aime peindre dans mon atelier (extrait de Facebook). Ce dessin est le résultat de la démarche présentée sur YouTube par James Julier, artiste numérique en Angleterre. Pour faciliter cet exercice, j’ai troqué le crayon HB pour un stylo rétro. Par la suite, j’ai réalisé 4 versions saisonnières du même arbre afin de produire ma première animation d’un chêne au fil des saisons. Tableau numérique 4 x 4.
La neige nous quitte au ralenti. Les couleurs vont revenir avec le printemps. Ce tableau d’apparence rudimentaire m’a pris passablement de temps parsemé d’essais et d’erreurs. La division de la composition inspirée de Martin Beaupré, artiste-peintre québécois, permet de combiner le monochrome au polychrome plutôt sobre. Tableau numérique 6 x 6.
Initialement, ce tableau devait s’inspirer davantage de l’approche sumi-e, mais de pinceau en pinceau, j’ai eu envie, photo à l’appui, de dessiner des montagnes et des roches au bord de l’eau; le canoë et l’oiseau se sont imposés à la fin. Tableau numérique 16 x 9.
Ce tableau est grandement inspiré d’une oeuvre de Martin Beaupré, artiste-peintre québécois. De mon côté, l’exercice consistait à réaliser une version numérique en y ajoutant une touche personnelle soit la cabane oubliée. Tableau numérique 16 x 9.