Ce tableau a connu plusieurs rebondissements, mais mes éléments demeurent en scène: la neige, les roches et les conifères. Sous des apparences anodines, je me suis investi intégralement mais par intervalle, question d’inspiration dans le sentier de la rivière Magog. Tableau numérique 4 x 6.
Durant la période où je me suis initié à la technique de sumi-e, j’ai eu envie d’explorer davantage ce courant chinois, notamment à cause de l’aspect monochrome. Très proche de l’aquarelle, l’intérêt pour l’ajout d’une autre couleur est immédiat. Le présent tableau s’inspire de cet art surtout par sa composition. Les outils numériques permettent de réaliser plusieurs versions du tableau original et c’est une version Zeke que j’affiche ici. Tableau numérique 4 x 3.
Depuis quelque temps, je réfléchis à l’idée de m’inscrire en ligne auprès d’un artiste-peintre numérique. C’est fait depuis le 2 février et j’adore mon début avec Floortje qui demeure aux Pays-Bas : en plus de bien décrire sa démarche et de rendre disponibles quelques-uns de ses outils (photo, palette et pinceaux), elle lit mon français et répond dans un court délai. Ce tableau est une reproduction d’une photo de Hofhauser, artiste hongrois. N.B. On peut publier une reproduction, mais on ne peut pas la vendre. Tableau numérique 8 x 6.
C’est l’hiver et je l’apprécie pour son silence et son inspiration. Ce tableau est issu d’une photo relevée sur l’Internet. La composition est simple et sa palette présente des teintes complémentaires. L’exercice consistait principalement à créer du mouvement dans le champ enneigé. Pinceaux utilisés cette scène d’hiver: dans la section Organique, Paper Daisy pour la rangée d’arbres au fond, Rainforest pour le feuillage des arbres sur la colline, Roseau et Argile pour les graminées. Dans la section Aérographie, j’utilise l’aérographe doux pour la montagne et la neige. Tableau numérique 6 x 4.
Ce tableau est inspiré d’une aquarelle de Claire Blais, une artiste de Brompton; je l’ai achetée en 2007 à La grande virée artistique de Sherbrooke. Les paysages d’hiver ont la particularité de véhiculer le silence. La composition est la même, mais la palette et les éléments diffèrent. Sa mise en ligne en noir et blanc dans le groupe de James Julier, un artiste du Royaume-Uni, m’a valu une invitation à joindre son groupe d’artistes numériques. Tableau numérique 4 x 6.
Le tableau dans la pièce adjacente à mon atelier m’a suggéré une idée: importer et retoucher la section gauche et lui faire un ajout. Dans ce contexte, ce tableau est vite terminé. Tableau numérique 6 x 4.
La version 5 de l’application est effective depuis le 2 décembre. Les nouveautés sont fantastiques, entre autres, la multiplicité des pinceaux. Ce tableau est le résultat d’une sélection de pinceaux qui conviennent à la structure d’une couronne des Fêtes. Pour une raison qui m’échappe … encore…, j’ai placé le sapin enneigé au centre de la couronne. Un tableau pas difficile, mais long à réaliser à cause des nombreux essais fructueux ou non. Tableau numérique 4 x 4.
Avec le froid, le silence s’accroît. Ce tableau est inspiré d’une photo sur l’Internet. Je l’ai réalisé avec grand plaisir tout en pensant à M qui y verrait une autre carte postale. Tableau numérique 6 x 4.
Systématiquement et régulièrement, je peins un tableau abstrait pour me dégager de toute contrainte et me centrer sur l’harmonie des couleurs dans un composition simple. Selon ce qu je me souvienne, c’est la première fois que je me limite à une seule couleur par strate ou couche; cette approche me procure plus de flexibilité. Tableau numérique 6 x 4.
Ce tableau est inspiré d’une photo d’une aquarelliste de la région et le résultat inclut encore une montagne, des conifères, de la neige au et un skieur. La démarche est simple : 3 plans incluant au total 10 strates ou couches. Tableau numérique 4 x 6.
Je suis passablement tranquille depuis deux semaines. Ce matin, j’ai réintégré mon atelier pour y modifier un tableau qui ne me convenait pas depuis quelques jours. La composition est simple et la palette est spontanée. Tableau 6 x 4.
Au pied de l’arbre, je voulais initialement adjoindre quelques fleurs et du feuillage. Coup du hasard, la silhouette de mon arbre tronqué est apparue comme un oiseau tête levée. En le dupliquant, un autre oiseau s’est collé tout près. Il ne restait qu’à ajouter quelques fleurs et un peu de verdure. Mon amie de Brossard m’a suggéré d’inclure de la lumière. La lune s’est levée, les montagnes se sont révélées et le texte, mon premier dans un tableau, s’est avéré minimal. Tableau numérique 4 x 6.