Avant-hier, je suis allé à un atelier de Diane Boilard, aquarelliste, qui a prodigué une foule de conseils en plus de réaliser un tableau devant la classe des 16 élèves rivés sur ses coups de pinceau. Contre toute attente, ce tableau a ravi ma Diane, assez pour que je l’affiche en ligne. Aquarelle sur papier Arches. Tableau 11 x 15.
J’avais envie de reprendre Destination Mystère, mais avec des couleurs froides et en y installant des contrastes. Je me suis réconcilié avec ce papier synthétique, notamment parce qu’on peut facilement y apporter des modifications le lendemain. Aquarelle sur papier Yupo. Tableau 12,5 x 17,5.
Et pour terminer cet avant-midi, j’ai ajouté un peu plus de couleur à l’arrière-plan et un peu de fantaisie à l’avant-plan. Aquarelle et encre sur papier minéral. Tableau 9 x 12.
Dans ce tableau, j’ai accentué l’arrière-plan, mais j’ai gardé la même composition et la même palette moins le sépia. Aquarelle et encre sur papier minéral. Tableau 9 x 12.
À la suite du dernier atelier, j’ai eu envie d’expérimenter davantage la peinture sur papier minéral. Ce dernier me convient mieux que le papier de coton, trop absorbant et…plus cher. Aquarelle et encre sur papier minéral. Tableau 9 x 12.
Ce matin, en atelier chez Madeleine, nous avons travaillé sur un papier TerraSkin; je l’ai préféré au papier Yupo. Je me suis limité à une couleur et ses différents tons. L’exercice en est un de patience, car il faut laisser sécher le tableau en chaque couche ou nouvelle application d’un autre ton. Aquarelle sur papier TerraSkin. Tableau 12.5 x 17.5.
Ce matin, il y a quelque chose qui ne fonctionnait pas jusqu’à ce que Diane me dise de reprendre un tableau en ajoutant une couleur, sépia. Au lieu d’utiliser le pinceau, j’ai utilisé une carte de plastique; les traits sont plus minces et mieux orientés. Danièle y a vu des fonds marins, d’où le titre. Aquarelle et encre sur papier Arches. Tableau 6 x 12.
J’ai finalement réussi à récupérer le tableau mal parti avant hier. Pour me faciliter la tâche, j’ai retenu la même composition, la même palette, mais j’ai appliqué un peu plus de couleurs chaudes. Les premiers coups de pinceau m’ont révélé un souvenir de Godbout lors de notre voyage sur la Côte Nord il y a une vingtaine d’années. En dernier lieu, comme pour le précédent, j’ai délimité certains volumes par un fin trait. Aquarelle sur toile cartonnée DeSerres. Tableau 18 x 24.
Après avoir couvert un tableau raté d’un enduit acrylique, j’ai retiré l’emballage d’un tableau monté sur un cadre. Pour ce nouveau tableau, j’ai opté pour une approche plus sobre et moins hâtive: j’ai appliqué la couche de fond en prenant soin de bien étendre la couleur. J’ai accordé un temps de séchage entre chaque couche et j’ai appliqué trois couches des couleurs variées. En dernier lieu, j’ai tiré des traits fins, mais forts pour délimiter des volumes. Aquarelle. Tableau 16 x 20.
Dans l’élan de ce matin, mais tout éveillé, j’ai opté pour un autre type de composition dans mon livre sur la peinture abstraite. Le résultat est apparenté curieusement à du concret de mon enfance. Aquarelle et encre sur papier Montval pour acrylique. Tableau 12 x 16.
Je me questionne fréquemment à propos du processus créatif. Ce matin, en me levant, j’avais un tableau dans mon magma intérieur que je devais faire monter à la surface. J’ai ouvert mon livre d’abstractions et je l’ai feuilleté jusqu’à ce que un ensemble de couleurs me plaise. En ouvrant ma palette, j’ai mélangé les couleurs séchées avec mon restant de jaune. Aquarelle et encre sur papier Montval pour acrylique. Tableau 12 x 16.
Et je me suis lancé sur le tableau qui sommeillait. Dès les premiers coups de pinceaux, j’ai bifurqué et laissé aller mon intuition. Le tableau a été réalisé en deux phases: 1) la phase bleue et 2) la phase d’intégration. Aquarelle et encre sur papier Canson. Tableau 9 x 12.